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Poésie

Cinquante-cinq jours sans toi

$20,000

Cinquante-cinq jours sans toi fait partie d'une collection pleine de passion et d'originalité pour suggérer que l'amour brille même en l'absence. Parler d’amour n’est pas toujours facile car le sentiment est intense. Elle s'adresse à nous lorsqu'elle touche notre cœur et nous montre les différentes possibilités d'échange avec la magie de l'autre dans la recherche de soi. Une fois conçue, la passion se faufile dans la poésie, les métaphores débordent et les vers font écho à l'âme lorsque la distance s'éprouve. La recherche des mots devient synonyme de conquête et de séparation. Le mot se conjugue avec tendresse et baisers. Les caresses émergent sous un soleil tropical en communion avec les continents, Amérique, Afrique et Moyen-Orient, et c'est la langue française qui crée le lien entre ces deux êtres qui vivent à cinquante-cinq jours d'écart. Dans cette collection, l’amour se dimensionne autour de son propre mystère.

Carrousel d’émotions

$20,000

Carrousel d’émotions, ce n’est pas un jeu d’enfant. C'est l'exemple vivant de la passion qui tourne autour de nous avec son visage d'amour et de douleur. Il fait partie de la collection de Bella Clara Ventura où l'on lit ses impressions sur la vie et la mort. Cette exaltation de l'existence nous ramène sur le chemin de la poésie. Les vers témoignent de la façon de converser avec les étoiles pour les rendre présentes sur ce chemin de mystère et de joie, de folie et de papillons proéminents, début d'un carrousel, pirouette de nos sentiments.

El milagro de la palabra

$40,000

Une femme désireuse d’apprendre à l’envers, une fille qui regarde le monde à travers les feuilles. Et là apparaît une des philosophies fondamentales de l'œuvre, celle de l'enfant intérieur qui sort et sait ouvrir la porte pour aller jouer, comme dans le refrain de l'enfance. Une fille blessée, suspendue dans un fauteuil et dans son silence, se retrouve dans les essences de la joie, apprises dans les arômes de la grand-mère et dans le jeu très sérieux d'entrevoir le poème.
Cette fille, heureusement bénie, également grand-mère, mère et sœur, parcourt les millénaires des femmes ancestrales, aussi belles à travers sa maison, elle aussi claire et ancienne. C'est ainsi qu'on la voit toujours, la voyageuse, celle qui chante et voit des cieux violets dans ses paysages peints comme des mirages d'étoiles.

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